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Fabienne Rêve - Lectrice

15 juillet 2021

Stéphane Freiss lit "La promesse de l'aube" de Romain Gary

Vendredi 25 Juin 2021, à la Cité de la Mer de Cherbourg. 19 heures.

Le Festival Culturisimo organisé par l'Espace Culturel Leclerc de Tourlaville nous proposait une lecture d'extraits de La Promesse de l'Aube de Romain Gary, par le comédien Stéphane Freiss.

"Cependant, j'étais loin d'être désespéré. Je ne le suis même pas devenu aujourd'hui. Je me donne seulement des airs. Le plus grand effort de ma vie a toujours été de parvenir à désespérer complètement. Il n'y a rien à faire. Il y a toujours quelque chose en moi qui continue à sourire." (Extrait du livre)

J'ai voulu assister à cette soirée pour les écrits de cet écrivain incompris, Romain Gary, et parce que Stéphane Freiss est un excellent acteur-lecteur.

Nous découvrons dans cette lecture, l'enfance puis, un jeune homme qui se cherche, essaie plusieurs activités avec les encouragements et les espoirs de sa mère. Il sera écrivain, prend un pseudonyme, écrit. La guerre est là, il s'engage tout en continuant de composer dans des carnets et d'avoir des échanges épistolaires avec sa mère, femme aimante, courageuse, qui fera tout son possible pour la réussite et l'avenir de son fils...

Je suis captivée par les mots de Gary, par l'interprétation de Stéphane Freiss si imprégné du texte et de l'émotion qui se dégage de ces extraits. Une lecture merveilleuse où l'émotion est palpable.

Les applaudissement embrasent la salle et atteignent le comédien sur la scène qui doit se défaire de l'empreinte de Romain Gary pour échanger avec le public.

J'ai passé une soirée délicieuse qui fera partie des inoubliables de cette année 2021.

Lecture Stephane Freiss

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8 juillet 2021

Michel Bussi "Au soleil redouté"

"L'inspiration est une vague,

il faut se laisser porter par elle,

et je la sens me soulever"

(page 64)

Cinq lectrices et auteures en herbe gagnent un séjour sur les îles Marquises avec leur auteur favori : Pierre-Yves François, atelier d'écriture, tourisme sur l'île, découverte des coutumes...Très vite, le cercle se rétrécit. Quelqu'un tue dans ce décor merveilleux et inspirant...

Dés les premières pages, grâce à l'inspiration captivante de Michel Bussi, je me retrouve avec le groupe, je partage leur aventure inattendue.

Les cinq gagnantes racontent par écrit, à la demande de l'écrivain, leur séjour qui s'articule entre séances d'écriture et visite de l'ïle. A la disparition de ce dernier les cinq femmes continuent d'écrire et nous découvrons petit-à-petit les secrets de chacune -ce qui les a conduit réellement à participer à ce concours.

Le journal de Maïma ou la bouteille à l'océan de Clémence, avec tous ces récits personnels, nous allons de rebondissements en découvertes, à peine le temps de réfléchir. Michel Bussi maitrise parfaitement ce suspens haletant qui nous empêche de lâcher le livre.

Ce séjour apporte des réponses face à ces meurtres incompréhensibles, le dénouement surprend et laisse en même temps une part de mystère.

Au soleil redouté est un roman à glisser dans votre valise cet été.

Michel Bussi, Au soleil redouté. Editions Pocket, 2021.

BONUS : Le premier exercice d'écriture proposé par Pierre-Yves François est le suivant : Avant de mourir je voudrais. Comme Clémence, Martine, Farèyne, Marie-Ambre et Eloïse, je vais y répondre :

Avant de mourir je voudrais partir, découvrir des paysages, des régions que je ne connais pas, me nourrir de nouvelles images pour redonner de la lumière à ma vie.

Avant de mourir je voudrais écrire LE livre pour que je me sente vraiment auteure.

Avant de mourir je voudrais vivre un instant inoubliable, beau, ainsi la vie n'aura pas été insupportable.

Avant de mourir je voudrais rencontrer Michel Bussi pour découvrir son univers d'écriture, les coulisses de création et de conception d'un livre, afin de composer un bel article -celui que je n'ai jamais lu- sur l'écrivain normand. Quelque chose de confidentiel mais de précieux pour une lectrice normande qui veut savoir ce qui se cache derrière un roman...

AU SOLEIL REDOUTE

1 juillet 2021

Deborah Levy "Ce que je ne veux pas savoir" et "Le coût de la vie"

"Pour devenir écrivaine, j'avais dû apprendre à interrompre, à parler haut, à parler fort, puis bien plus fort,

et à revenir simplement à ma propre voix qui ne porte que très peu".

Ces deux livres, qui ont obtenu le Prix Fémina Etranger 2020, font partie d'un vaste projet de trilogie autobiographique que Deborah Levy nomme living autobiography, Ce que je ne veux pas savoir en est le premier volet et Le coût de la vie, le deuxième.

Je suis venue à découvrir cet auteur lorsque les différents prix littéraires 2020 ont été décerné. Je voulais lire un primé et en lisant les présentations de livre de chacun, j'ai acheté les deux recueils autobiographiques de Deborah Levy car c'est un genre littéraire que j'affectionne : quand les écrivains racontent leur propre histoire.

Dans Ce que je ne veux pas savoir, Deborah Levy se réfugie à Majorque pour réfléchir, se retrouver face à elle-même, face à sa vie. Elle se rappelle son enfance en Afrique du Sud, l'arrestation de son père, l'apartheid. Elle se souvient de son adolescence dans ce nouveau pays, l'Angleterre, où chaque samedi matin elle s'asseyait dans un café pour écrire sur des serviettes en papier, boire un chocolat et lire Marguerite Duras et Virginia Woolf.

L'écriture de Deborah Levy est posée, poétique, elle offre même "une oeuvre littéraire d'une clarté éblouissante et d'un profond secours." Oui, écrire peut sauver mais aussi être une évidence à nos vies, les mots restent alors que les paroles nous quittent et disparaissent.

Dans Le Coût de la vie, Deborah Levy a cinquante ans, un divorce, des filles à élever et des factures à payer. Elle quitte une grande maison pour un appartement au nord de Londres, elle doit construire sa propre vie avec pour bagage son activité d'écrivain et un vélo électrique. Dans ce livre, à travers son histoire l'auteur évoque les femmes qui vivent selon les codes d'une société qui les enferment dans un statut de femme au foyer, de mère, et où son existence propre s'efface. "Marguerite Duras nous dit qu'une écrivaine doit être plus forte que ce qu'elle écrit." Deborah Levy partage cette expérience avec nous...

J'ai hâte de découvrir le dernier volet de cette trilogie autobiographique...Pendant ce temps, j'ai plusieurs extraits à retranscrire dans mon journal de lectrice...

Deborah Levy, Ce que je ne veux pas savoir et Le Coût de la vie. Traduit de l'anglais par Céline Leroy. Editions du Sous-Sol, 2020.

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24 juin 2021

Angela Marsons "Nos monstres"

Extrait de la quatrième de couverture : "Un homme est retrouvé mort à la sortie d'un pub des Midlands, son corps lacéré de coups de couteau. Un ex-taulard, condamné pour viol. Chargée de l'affaire, l'inspectrice Kim Stone débusque rapidement la coupable : Ruth, une ancienne victime. Simple vengeance ? Mais quelque chose ne colle pas.

Pour comprendre les raisons de son passage à l'acte, la policière se tourne vers Ale Thorne, une psychiatre reconnue qui suivit Ruth depuis des mois.

Dès lors, leurs chemins n'en finissent plus de se croiser. D'autres meurtres vengeurs, sauvages, d'autres assassins aux profils inattendus, avec un lien en commun : Alex Thorne..."

Mon avis : Dès les premières pages je suis imprégnée par la brutalité, la force et le récit addictif de ce polar.

L'intrigue est habilement menée, elle fouille les recoins de l'âme humaine et nous interroge sur le comportement d'une sociopathe.

L'inspecteur Kim Stone ne sort pas intacte de cette affaire qui s'est intégrée à sa vie personnelle, son passé.

Je découvre avec Nos monstres la plume incisive d'Angela Marsons qui martèle chaque action pour montrer l'intensité des deux enquêtes menées, des faits divers difficiles qui évoquent la monstruosité dont peuvent faire preuve certaines personnes. Ce roman nous parle de la fragilité de chacun quand nos vies se retrouvent perturbées, chahutées. Nous pouvons perdre pied.

Les chapitres sont courts comme pour marquer l'urgence d'aboutir dans ces affaires.

Un roman palpitant de la première à la dernière page.

Angela Marsons, Nos monstres. Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Laureline Chaplin. Editions Belfond, 2021.

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17 juin 2021

Elizabeth Jane Howard "Confusion"

La saga des Cazalet - Tome 3

1942. La guerre se poursuit. Polly perd sa mère qui succombe à un cancer. Clary espère toujours le retour de son père et Louise abandonne son rêve de comédienne pour se marier, devenir mère. A Home Place, la vie s'endurcit avec le manque de chauffage, le rationnement...Les jeunes femmes s'émancipent et s'installent à Londres...

Nous poursuivons l'histoire de la famille avec le point de vue des trois jeunes femmes qui se détachent de Home Place. Elles s'perçoivent que le cocon tissé par leurs ainés pour les préserver, leur a privé de la réalité de la vie et des expériences à vivre.

Elizabeth Jane Howard tient la barre de cette saga captivante, sans fléchir, gardant les lectrices/lecteurs au fil des pages. Le portrait dessiné par la romancière de chacun des peronnages, nous permet d'être proche d'eux, tous sont importants, adulte, enfant et même le personnel de maison à sa place.

J'ai hâte de lire la suite...

Clary / Mai-Juin 1941, extrait d'une discussion entre la jeune femme et Archie, un ami de la famille. C'est lui qui parle : "...Il me semble que le but d'un journal est d'être complet, de ne pas s'interrompre...". "...une des différences entre l'amateur et le professionnel c'est que l'amateur ne travaille que quand il en a envie, et que le professionnel travaille quelque soit son humeur..." (Page 341)

Elizabeth Jane Howard, Confusion. Traduit de l'anglais par Anouk Neuhoff. Editions La Table Ronde, 2021.

CONFUSION

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17 juin 2021

Elizabeth Jane Howard "A rude épreuve"

La saga des Cazalet - Tome 2

La guerre a éclaté. La famille Cazalet vit principalement dans sa maison à la campagne, les hommes se rendent à Londres pour diriger la scierie familiale et Rupert est mobilisé dans la guerre pour être porté disparu en France.

Ce tome 2 raconte l'histoire des Cazalet avec le regard des petits-enfants : Clary, Polly et Louise.

Clary tient un journal pour rendre compte à son père Rupert, du vécu de sa famille. La jeune fille croit que ce dernier reviendra et l'espère.

Nous suivons Polly et Louise. Cette dernière se tient à son désir de devenir comédienne en ces temps troublés. Les trois jeunes filles s'aperçoivent que les liens familiaux et se retranchement à la campagne, leur ferment une ouverture sur ce qui se passe en réalité. Elles découvrent leur ignorance sur beaucoup de sujets.

A travers la famille Cazalet, nous vivons la guerre avec ses privations, ses joies et ses peurs.

L'écriture précise de l'auteure permet une nouvelle fois de vivre cette histoire familiale vacillante où des rêves d'émancipation se dessinent...

Extrait du Journal de Clary /Mai-Juin 1940 :"Vendredi 31 Mai. Le problème avec un journal, c'est qu'on se sent obligé de le continuer..."(Page 209)

Elizabeth Jane Howard, A rude épreuve. Traduit de l'anglais par Cécile Arnaud. Editions La Table Ronde, 2020.

A RUDE EPREUVE

17 juin 2021

Elizabeth Jane Howard "Etés anglais"

La saga des Cazalet - Tome 1

 

Je lis rarement les sagas mais celle de la romancière anglaise, Elizabeth Jane Howard (1923-2014) m'intéressait car elle décrit avec précision le ressenti des membres de la famille Cazalet face à la Seconde Guerre Mondiale iminente.

Le premier tome se concentre sur les grands-parents et les parents, tous se réfugient à Home Place pour profiter du calme de la campagne mais aussi avec cet espoir que la guerre n'éclate pas.

Elizabeth Jane Howard décrit chacun de ses personnages avec minutie, les émotions, son histoire, les rêves que ces femmes, ces hommes et ces enfants aspirent. La lectrice que je suis est parfaitement intégrée à cette famille même si je trouve qu'elle se retranche trop sur elle-même...

Elizabeth Jane Howard - Etés anglais / La saga des Cazalet Tome 1. Traduit de l'anglais par Anouk Neuhoff. Editions de la Table Ronde, 2020.

ETES ANGLAIS

10 juin 2021

Sarah Vaughan "Autopsie d'un drame"

4eme de couverture : "Jess, mère au foyer, fait preuve d'une grande dévotion envers ses trois enfants, qu'elle chérit et protège à tout prix. C'est du moins la façon dont Liz, son amie depuis dix ans la perçoit. Mais le doute s'installe lorsque Jess se rend aux urgences pédiatriques où travaille Liz. Dans ses bras, sa fille Betsey, âgée de dix mois, présente tous les signes d'un traumatisme crânien. Jess, d'ordinaire si soucieuse du bien-être de sa famille, semble étrangement distante et peu concernée par la situation, et ses explications ne collent pas avec la blessure de l'enfant. Liz s'interroge sur les réelles motivations de son amie. Pourquoi a-t-elle attendu aussi longtemps avant de se rendre à l'hôpital ? S'agit-il vraiment d'un accident, comme elle l'affirme ?..."

Nombre de pages lues : 443

Ma chronique : J'ai gagné Autopsie d'un drame de Sarah Vaughan à un concours organisé par l'éditeur sur les réseaux sociaux. C'est le troisième roman de Sarah Vaughan que je lis après, La meilleure d'entre nous et La ferme au bout du monde.

Autopsie d'un drame est un roman psychologique captivant qui nous emmène vers les accusations de maltraitance sur un enfant et toutes les conséquences déclenchées à cause de ce doute. 

Jess est une mère aimante qui s'occupe très bien de ses enfants mais qui ne sait plus prendre soi d'elle, de s'octroyer une pause et quand elle conduit sa fille aux urgences tout ce qu'elle a construit s'effondre.

Sarah Vaughan décrit avec beaucoup de précisions ce basculement, les émotions qui assaillent les personnages.

L'écriture est intense du début à la fin, à chaque page la réflexion est intelligente et le dénouement est inattendu.

Un roman addictif qui saura vous toucher pour l'été.

SARAH VAUGHAN

Sarah Vaughan, Autopsie d'un drame. Traduit de l'anglais (Grande-Bretagne) par Alice Delarbre. Editions Préludes, 2021.

 

3 juin 2021

Voyage avec un âne dans les Cévennes

Texte de Robert-Louis Stevenson.

Livre illustré par des photos d'époque regroupées par Jean-Marie Gazagne et Marius Gibelin.

Nombre de pages : 176

Les éditions de Borée propose un bel album illustré du périple de Stevenson et son âne dans les Cévennes, avec des photographies d'époque qui permettent au lecteur de vivre ce voyage, de toucher les paysages cévenoles et de voir comment vivaient les habitants dans ces campagnes profondes.

"Pas d'autre bruit sinon le tranquille, l'intraduisible murmure du ruisseau sur les pierres..."

J'ai choisi ce livre pour le texte de Stevenson, pour ce périple insolite à pied dans les Cévennes, pour cette marche solitaire qui permet de toucher la vraie vie d'une région. La documentation apporte des images qui nous projettent à cette période.

Un très bel album...

Voyage avec un âne dans les Cévennes. Texte de Robert-Louis Stevenson. Illustrations proposées par Jean-Marie Gazagne et Marius Gibelin. Editions de Borée, 2021.

STEVENSON CEVENNES

27 mai 2021

Sarah-Jane Stratford "Héroïnes"

L'histoire : "Dans les années 1950, alors que la "peur rouge" vire à l'hystérie collective à New York, Phoebe Adler, scénariste, est soupçonnée d'accointances communistes. Devant la menace d'emprisonnement, elle se voit contrainte d'émigrer de l'autre côté de l'Atlantique.

Mais dans un Londres où tout est à reconstruire, difficile de trouver un travail. Jusqu'au jour où elle croise le chemin d'Hannah Wolfson, une productrice américaine. Elle-même victime de dénonciations, la jeune femme se mobilise pour venir en aide à ses compatriotes et recrute ses équipes parmi les artistes et la Liste noire. Ensemble, les deux femmes entrent en résistance contre le maccarthysme, l'injustice, le sexisme, sans réaliser que la chasse aux sorcières ne connaît pas de frontières..."

Ma chronique : Ce roman nous entraine dans le milieu cinématographique des années 50 aux Etats-Unis où la chasse aux communistes et leurs amis étaient lancés obligeant ces personnes à fuir leur pays pour ne pas se retrouver derrière les barreaux.

Double peine pour Phoebe Adler, elle est une femme indépendante, scénariste, qui souhaite vivre de ses scénarios.

J'admire son courage : quitter son pays, ses amis et surtout sa soeur gravement malade qui séjourne dans un institut.

Ce roman montre également la détermination de ces femmes qui veulent réussir dans l'industrie du cinéma en détenant des postes dans l'ombre ou en créant leur propre société. Leur indépendance et leur réussite effraient les hommes, les jalousent.

A la question 10 posée à la fin du livre : "En quoi la lecture de ce roman a-t-elle changé votre vision de l'industrie du cinéma ? Pensez-vous que les problématiques aient évolué depuis les années 1950 ? Que les femmes y trouvent davantage leur place ?", je répondrais : ma vision de l'industrie du cinéma n'a pas changé, les financiers et parfois les politiques sont venus anéantir des projets ou des personnes qui génaient. Les problématiques ont évolué, il faut rester dans le cadre, répondre aux désirs des réalisateurs et des producteurs pour mener une carrière, se perdre soi-même pour voir son nom sur une affiche. Les femmes sont encore reléguées au second plan sur un générique, rare sont celles qui restent au devant de la scène. Les actrices ont libéré leurs paroles lors du mouvement Me Too pour dénoncer les agressions sexuelles, les pressions, le harcèlement exercés sur elles, mais certaines ne figurent plus sur aucun générique pour avoir trop parlées. Dénoncer = rejet.

Héroïnes, le roman, célèbre ses femmes qui ont privilégié ces métiers qu'elles aiment tant. Sarah-Jane Stratford offre un florilège d'émotions : poignantes, révoltantes, touchantes... selon le récit. C'est un roman fémin ui rappelle que les talents de création ne sont plus réservés à la gente masculine. Les femmes peuvent mener une acrrière professionnelle, tout en étant mère et épouse. Il faut que les hommes acceptent leur réussite et leur indépendance financière.

Sarah  - Jane Stratford, Héroïnes. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Valérie Bourgeois. Editions Belfond, 2021. Merci à Claire pour l'envoi de ce roman.

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Fabienne Rêve - Lectrice
  • L'écriture et la lecture sont mes deux passions mais j'ai décidé de scinder ces activités en deux blogs. Sur celui-ci, je partagerais mes livres ainsi que des articles dédiés à ce domaine.
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